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Mardi 20 janvier 2009. |
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Après une dernière soirée à Itaparica… |
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Et Dieu sait si Rémy n’eut rien à regretter !!! |
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Nous sommes prêts à quitter Itaparica et bientôt Salvador. |
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Nos amis de Pjuske, partis de bonne heure, nous attendent à Pier Salvador pour un repas d’adieux. Ce qui arrange bien son équipage plus matinal que jamais... "mais tout d'même" ! |
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Dernier petit tour dans le mouillage pour dire au revoir aux amis. |
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Il est un peu plus de 9 heures lorsque nous levons l’ancre. |
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Nous passons les premiers pylônes. Allons vers le large. Dépassons la plage du fort. Soudain, un bruit anormal dans le moteur. Comme quelques chose qui tombe…
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Rémy déroule le génois dans l’espoir qu’un petit souffle nous poussera vers le mouillage. |
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Rien ! Nada ! Pas une once de vent. |
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Nous sommes poussés vers le mouillage par le courant, mais en même temps… vers la plage. |
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C’est avec l’annexe, moteur au ralenti (voir ci-dessus !) que Rémy nous évitera de nous échouer ou au mieux d’atterrir – ou plutôt d’amerrir - contre un pylône. |
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Mais, à ce rythme, nous ne sommes pas prêts d’atteindre le mouillage ! |
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Par chance, nous parvenons à contacter notre sympathique et dévoué Francis qui travaille sur son voilier. Francis peut être fier de son petit « 4 chevaux ». Il nous ramène doucement mais sûrement, aidé plus tard d’Antoine, propriétaire du superbe Shana, qui vient à la rescousse. |
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Nos amis, à bord de leurs annexes, nous guident au milieu des autres voiliers, pas trop loin de la marina puisque nous serons de nouveau à la rame. |
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L’ancre retrouve sa place au fond de l’eau. |
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Beaucoup de questions demeurant sans réponse pour l’instant. |
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Toutefois nous estimons avoir eu de la chance, comme souvent, en imaginant que cela aurait pu nous arriver dans les îles désertes des Abrolhos. |
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Une heure plus tard, la pompe est démontée. |
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Dès le lendemain, il prendra la lancha pour Salvador et arpentera les rues de Calçada, le quartier miracle, à la recherche d’un bon bricoleur. |
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Nous croisons les doigts… ! |
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Vendredi 23 janvier. |
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Après deux visites à Salvador et quelques kilomètres dans les rues de Calçada – la parole des artisans n’étant pas très fiable comme toujours ! - Rémy revient enfin avec sa pompe réparée. Quant à l’hélice de notre Tohatsu, aucun espoir. Les brésiliens ne connaissent même pas la marque. |
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L’axe est refait – Le roulement est neuf – "Reste plus qu’à" remonter et essayer. |
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Le lendemain, la pompe est remontée. Moteur … Ça marche ! |
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L'invasion. |
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Nous sommes le week-end et, comme chaque week-end, les brésiliens à bord de leurs voiliers ou de leurs gros yachts à moteur débarquent sur l’île. |
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Le port se remplit…puis le mouillage. |
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Des hélicoptères de la télévision survolent les lieux. Les bateaux affluent. La musique à fond raisonne dans tout le port. |
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Certains voiliers s’ancrent par trois. ![]() |
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Bateaux, jet skis, annexes se croisent à fond dans le mouillage, se rentrant dedans à l’occasion. |
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C’est intenable. |
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Nous attendrons des nouvelles par notre fille qui a aussitôt repris ses bonnes habitudes. Il s’agit en fait d’une soirée plus ou moins privée, tout au moins payante, organisée près de la marina. |
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Vivement demain que nous retrouvions le calme de la marina de Ribeira ! |
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En attendant, nous passons du bon temps, entre autre sur Xiphos avec notre ami Daniel qui fait très bien la Caïpi ! |
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Dimanche 25 janvier. |
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Nous sommes heureux de lever l’ancre espérant bien, cette fois, ne pas revenir trop vite. |
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Nous avons hâte de descendre vers l’Argentine. |
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Quelques heures plus tard, nous sommes à Ribeira. |
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Nous reprenons notre place, non sans mal – un vent terrible souffle sur Ribeira – dans la marina de Pier Salvador. |
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Et le temps passe vite…très vite… |
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Avitaillement dans le grand supermarché réputé pour « y trouver tout ce que l’on veut » - Vous avez dit ? Rodrigues bien sûr ! |
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Dernière soirée au Peló - un mardi comme promis. Soirée dont nous nous souviendrons sans aucun doute (cf. Pelourhino). Et un dernier repas sur Pjuske, en commençant par la Caïpirinha, il va de soi ! Nos amis étant revenus de leur excursion. |
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Nous sommes prêts à quitter la Baie de Salvador. |
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Vendredi 30 janvier. |
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Chaque jour depuis notre arrivée, un vent fort se lève dès 9 heures. La manœuvre en marche arrière étant toujours délicate avec notre camion toujours aussi têtu, nous préférons partir de bonne heure. |
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Il n’est donc que 6 heures du matin – le second comme un zombi - lorsque nous larguons les amarres pour quelques centaines de mètres.
Et il ne marche pas à la Caïpi, lui !!! |
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Nous nous amarrons au ponton de la station service et attendons 8 heures, heure d’ouverture présumée de la station. |
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9 heures Tchão Baia de todos os Santos ! |
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L'église de Bomfim aux dômes jaunes. |
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Une note de douceur dans un monde de brute ! |
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Mon cher Marco, il était grand temps !!! |
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Je vous présente donc avec fierté notre nouvelle et merveilleuse étoile : |
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Bienvenue parmi nous chère petite Sohane ! * |
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Maintenant, nous pouvons partir. |
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Direction le "Parc Nacional Marinho de Abrolhos" |
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