Cette ville, à 97 km de Cuzco, au fond de la Vallée Sacrée, fut une importante forteresse qui surveillait le chemin du Machu Picchu.
Qui dit forteresse, dit ruines, et - n’étant pas ici pour paresser ! - visite.
Pour ma part, cette fois, je capitule.
Si les vieilles pierres commencent à vous lasser, vous pouvez donc me suivre directement pour la visite de la ville (un peu plus bas).
Dans le cas contraire, vous suivrez Rémy et Candice qui vont, une fois de plus, gravir un interminable escalier qui monte vers ces ruines au milieu des terrasses incas.
La forteresse
Ingénieux ensemble d’irrigation et de fontaines
Greniers construits sur le flanc de la montagne, de l’autre côté du vallon
Visite de la ville
Marché artisanal au pied des ruines
Statuettes porte-bonheur que l’on voit très souvent sur le toit des maisons
Centre ville
(Cette photo n’est pas tassée !)
Après nos visites respectives, nous nous retrouvons pour un petit casse-croûte dans le jardin de l’hôtel.
Notre séjour dans cette ville se termine.
Cette fois, nous souhaitons nous rendre à Nazca.
Mais toujours pas de bus direct.
Sur les conseils de nos hôtes, une voiture nous emmène à Urubamba où nous trouverons une liaison pour Cuzco.
Le bus se remplit…se remplit…se remplit…
Est-ce reparti pour 1 heure 30 de calvaire ?
Non !
En grande majorité, les passagers sont des écoliers.
Ces enfants sont serrés comme des sardines dans le couloir. Mais cette fois, nous ne subirons ni l’odeur de "bouffe", ni celle de la coca.
Nous nous retrouverons très vite avec des sacs scolaires sur les genoux ou sur la tête. Mais ces jeunes, heureux de rentrer chez eux, seront une agréable compagnie.
Ces enfants sont quelque peu surpris de nous voir dans « leur » bus et nous surprenons quelques petits sourires.
17 heures, soit à peine une heure après notre arrivée à Cuzco, nous sommes déjà dans
un bus « Cama ».
Le bus est confortable. Mais les virages incessants nous interdiront de fermer l’œil durant toute la nuit.
Courage !
Dans 13 ou 14 heures, nous serons à Nazca où nous souhaitons survoler en avion ces mystérieuses lignes présentes depuis des siècles dans le désert . . .
