Nous sommes début avril - Tout ce monde tombe à point nommé.
Car le 10 avril, le second fête ses "quelque chose et 1 ans"
Désolée, je ne me souviens plus très bien (!?)
Mais nous allons les fêter quand même !
étant inaccessible, nous organisons, en face du port, une picada (pique-nique à l’uruguayenne) avec les équipages de Lela et Tortuga, ainsi que nos chers amis Teresita et Santiago, sans jamais oublier Marco (qui passera plus tard, en coup de vent, comme souvent, sauf lorsqu’il s’agit de déguster nos bonnes recettes de cuisine françaises, qu’il adore !).
Une petite surprise : Carmen, grâce à qui je peux avoir du linge propre sans me congeler les mains durant l’hiver, vient nous offrir un pain maison tout frais, tout chaud, confectionné par sa maman.
On les adore, ces gens de Mercedes !
Malgré cette année de plus qui passe difficilement, je suis ravie.
Il y avait longtemps que je n’avais fêté mon anniversaire avec des amis.
Même si j’aurais bien fait un peu plus la fiesta…mais bon ! Une prochaine fois... peut-être...?!
Pendant ce mois d’avril, nous découvrons aussi la capitale :
Montevideo
Située à 300 km de Mercedes, il nous faut prendre le bus aux aurores pour arriver en fin de matinée – retour prévu le lendemain.
Cette ville, même aux dires des Uruguayens, n’offre pas vraiment d’intérêt. Le but est pour nous d’y trouver les matériaux et accessoires que nous ne trouvons pas à Mercedes.
Or, vu la longueur de notre liste, nous n’aurons pas trop de ces 2 journées.
Quant à la visite, ce sera du "ultra rapido" !
Et ce sera tout.
J’avais bien dit… "ultra rapido" !!!
A savoir que cet hôtel, situé en plein centre ville, se classe parmi les établissements tout à fait corrects pour le pays (entre 30 et 35 euros la chambre - prix minimum en Uruguay - pour vous donner une idée).
La chambre est propre, le lit confortable, mais, en Uruguay comme en Argentine, on n’est pas exigeant sur les finitions. Et les salles de bains sont souvent assez…surprenantes.
Nous avons eu beaucoup de chance : de la douche émanait plus qu’un filet d’eau, cette eau était chaude, et il n’y avait ni fil électrique dénudé, ni domino pendouillant près de la pomme de la douche (ce qui est normalement le cas !).
Fin avril, nous célébrons un autre anniversaire : celui de notre fidèle ami Marco.
Rassure-toi, Chéri.
Cette fois ce n’est pas TON anniversaire !
Les bonnes choses ayant toujours une fin, quelques semaines plus tard…
Départs
Fin avril, Lela quitte le port de Mercedes pour d’autres horizons.
Snif !
Début juin, c’est le tour des Ratatons.
Re-Snif !
Eux partent en France pour un séjour prévu de 4 mois et nous confient la garde de Tortuga.
Petite consolation : pendant leur absence, nos amis mettent leur bateau à notre entière disposition. Ce qui, pour nous, est une véritable aubaine.
Nous allons pouvoir y caser un peu du bazar qui envahit et ralentit nos travaux.
Merci les amis. Bon séjour en France !
Et ne vous inquiétez pas, on veille sur Tortuga comme si ce voilier nous appartenait.
(Nous ne savons pas encore à quoi nous nous engageons là !)
Après ces 2 départs et Marco absent pour 1 mois, nous nous retrouvons seuls à Puerto Mercedes.
Mais nous détenons les clés de tous les bateaux qui y sont amarrés.
Nous faisons alors un grand vide sur et travaillons beaucoup plus à notre aise grâce à la gentillesse de nos amis.
Quelques jours à peine après leur départ, ils ne reconnaîtraient déjà plus Tortuga !!!
Allez !
Pour faire plaisir à ceux qui rêvent de découvrir cette capitale sud-américaine, voici quelques photos « chipées » sur Internet (merci à ceux qui les ont diffusées) :
Sachez que nous découvrons ces rues et places du centre ville en même temps que vous !
Pour d’autres photos, il vous suffit de taper « Montevideo » sur notre ami "Gogole". Mais je vous conseille vivement ce site : : http://elisaorigami.blogspot.com - les photos sont superbes et évoquent l’ambiance de certaines rues de la ville.
