Que fait le Capitane de pendant que ses deux équipières
batifolent sur les pistes de danse ?

Je présume qu’il profite de ces brefs instants de tranquillité. Et il a bien raison !

Mais il peaufine aussi notre prochaine visite en bus.

Après de longues discussions sur « quand, où et comment » et beaucoup d’enthousiasme de la part de tout l’équipage …

… notre départ pour la Péninsule Valdés est prévu pour ce lundi 5 octobre.

Samedi 3 octobre 2009

Dernier asado avec notre voisin et ami Fabian, heureux de retrouver son voilier Chionis, ainsi que ses nouveaux équipiers, Cathy et Gilles, dont nous sommes ravis de faire la connaissance.

Gilles et Fabian 

A gauche, Cathy et notre ami Emilio qui passait par là !

 

Puis arrivent enfin Jorge et Nicha, récents propriétaires d’un petit voilier et donc nouveaux sociétaires du club.

Nous les attendions pour l’asado.

Ils arrivent pour le dessert, probablement alléchés par l’excellente et, parmi les voiliers, déjà très réputée tarte au citron de Fabian.

  

Il était temps !

Note : J’en profite pour vous signaler combien ce prénom, Jorge, est imprononçable en castillan.
Essayez en sachant qu’il comprend ces 2 sons : le premier est un « jota » et le suivant un « jota » un peu moins « jota »… !!!
Mais Jorge parle parfaitement français, nous l’appelons donc Georges.

Ouf !

Nos amis n’ont pas encore mangé.
Rémy opte donc pour la solution la plus rapide.

Car la parilla, c’est bien…mais c’est long  et ça donne chaud à notre Capitaine !

Attention : Si Jorge ne dit rien, c’est qu’il a beaucoup voyagé ou qu’il est très poli.

Mais ne faite jamais cela devant un Argentin !!!

Nous passons ainsi une journée très agréable.

Ce que nous ne savons pas encore, c’est combien la soirée va être longue…

Retour au Quincho

Nous décidons, comme chaque week-end, d’aller saluer nos amis du club et entraînons nos amis français ainsi que nos deux amis argentins, nouveaux « socios » du club qui ne connaissent donc personne ici.

La route fut longue et laborieuse…    

  

Ah... ces hommes ! Ils ne savent pas se tenir !

         
Oups... Heu... je n'ai rien dit !

Arrivée au Quincho

Notre cher ami Edouardo nous accueille, ravi de cette visite surprise, et s’empresse comme toujours de remplir les verres vides de l’un de ses excellents vins argentins qu’il a toujours en réserve –j’allais dire « sur lui ! ».

  

L’accueil est, comme toujours, très chaleureux et tous sont ravis de connaître de nouveaux français.

Nous avons quelques difficultés à leur faire comprendre que Jorge, qui parle français, est Argentins et que Cathy, qui parle couramment espagnol, est Française.

Mais ce n’est pas grave !

 

Ce soir, au Quincho, c’est « soirée pizza à la parilla ».

 

  

L’une des 3 Mirtha, épouse de l’un des 4 Jorge ( ! ) est aux fourneaux.

Nous sommes vivement conviés à nous joindre à eux.

Précisons qu’à la fin de la soirée, il nous sera impossible de partager les frais. Tous nos arguments n’y feront rien.
              « Les français sont invités - Il est hors de question qu’ils paient ! »

Quelques allers-retours sur nos voiliers respectifs pour le « ravitaillement en liquide » (!) et la soirée peut commencer.

Nous mangeons… buvons… dansons… jusqu’à une heure très avancée.

 

Musique !

  Edouardo « ne se  tient plus de joie » ( !) 
Toute « fiesta » le met en grande forme !

Anecdote : Comment réparer un ampli !

Au Quincho, le matériel Hifi est un peu fatigué. Ceci dit, vu ce que certains lui font subir, rien d’étonnant à cela.

Heureusement, pour notre cher Edouardo, réparer un ampli est chose aisée.

On commence par le secouer énergiquement  

Et vu la force d’Edouardo, le mot est faible !

Si cela ne suffit pas :


1) On fait sauter le couvercle  


2) On rentre une grosse paluche à l’intérieur

3) On mélange le tout.

…et ça marche !!!

Nos deux amis français, fraîchement débarqués d’avion, sont surpris d’une telle ambiance et d’un tel accueil.

Ils se souviendront probablement longtemps de leur première soirée en Argentine.

 

!?!

Chionis et son équipage partent bientôt vers le sud.

Nous espérons vivement les retrouver à Camaronés, en Patagonie, avec d’autres amis, où nous envisageons de passer les fêtes de fin d’années.

Pour l’instant, nous devons vous quitter.



Nous vous disons à bientôt pour                                                       

              la Péninsule Valdés et la faune Patagonienne . . .


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