| 
          | 
      
      
        Djissor   | 
          | 
      
      
         | 
          | 
      
      
        Afin de nous remettre de l’une de nos soirées chez
            Léon - celle "du cochon d’Alphonse" en l’occurrence
            - Rémy ne trouve rien d’autre qu’une balade en
            annexe à Djissor, village voisin où "Ehidj enterre
            ses morts". 
          Au lieu de nous rendre à Djissor par le plus court chemin,
            nous tentons une percée dans les bolongs.  
            | 
          | 
      
      
         | 
          | 
      
      
        | Mais le passage se rétrécit peu à peu,
          les fonds montent et les branches des palétuviers et surtout
          les huîtres qui s’y accrochent menacent notre embarcation.  | 
          | 
      
      
         | 
          | 
      
      
        A notre grand regret, car l’endroit est magnifique, nous faisons
          demi-tour. 
          Nous prenons alors ce petit bolong, étroit mais bien plus dégagé, qui
          nous mène directement à Djissor | 
          | 
      
      
         | 
          | 
      
      
        
          
             | 
              Moi, je rentre à la
              maison... 
               ...Vous venez ?!  | 
           
          | 
          | 
      
      
         | 
          | 
      
      
        | Non loin de là nous apercevons trois cases, les seules du
          village. | 
          | 
      
      
         | 
          | 
      
      
         | 
          | 
      
      
        
          
            | Cette jolie vache vient vers nous comme pour nous
              accueillir. | 
             
          
             | 
            
               
                Bonjour Mademoiselle ! 
                Oh ! Pardon...Monsieur !  
                  
               
              | 
           
          | 
          | 
      
      
         | 
          | 
      
      
         | 
          | 
      
      
        Nous arrivons chez Rose qui fait bouillir les huîtres
          et nous invite à goûter.  
          (Les huîtres ainsi préparées ressemblent étonnement à des
          moules). | 
          | 
      
      
         | 
          | 
      
      
        Les enfants veulent que nous les prenions en photo, hilares comme
          toujours lorsqu’ils voient leur portrait sur ce petit écran.  | 
          | 
      
      
         | 
          | 
      
      
         | 
          | 
      
      
        | De l’autre côté de l’île . . .  | 
          | 
      
      
         | 
          | 
      
      
        
          
            . . . la rive est accessible par de charmantes
              petites plages comme celle-ci. 
           
          | 
          | 
      
      
         | 
          | 
      
      
        | Nous sommes en face de la plage du campement de Ehidj.  | 
          | 
      
      
      
        Nous décidons de reprendre l’annexe et faire le tour
            du bolong, afin d’aller nous installer sur l’une de ces
          plages pour déjeuner.  | 
          | 
      
      
         | 
          | 
      
      
         | 
          | 
      
      
      
         | 
          | 
      
      
      
        Normal, nous sommes à côté du cimetière !   | 
          | 
      
      
         | 
          | 
      
      
        Ceci dit, avec ou sans cimetière, cette île
          doit rarement connaître de perturbation.  | 
          | 
      
      
        Nous avons bien proposé à Candice
            d’y demeurer quelque  temps, afin de travailler dans le calme.  
          Elle ne veut pas. 
          On se demande bien pourquoi ?... !  | 
          | 
      
      
         | 
          | 
      
      
        Le retour vers Ehidj contre vent et courant s’avère moins
            agréable.
             
            Utilisant notre vieille nappe - de  pique-nique, travaux et autres
          multiples usages - pour nous abriter, nous arriverons malgré tout trempés comme des soupes.  | 
          | 
      
      
        Mais avec une nouvelle
            journée,
          toute simple, mais extraordinaire, à classer parmi nos souvenirs.            | 
          | 
      
      
         | 
          | 
      
      
        
          
            
              
                A Ehidj, nous avons pris du bon temps, c’est évident. 
               
              | 
              | 
              | 
           
          
          | 
          | 
      
      
        
          
            |   | 
            
              
                
                  Mais nous avons aussi bossé ! 
                 
               
              | 
              | 
           
          | 
          | 
      
      
      
        
          
            |   | 
              | 
            
              
                
                  
                    Venez voir si vous ne nous croyez pas . . . 
                   
                 
               
              | 
           
          | 
          |